Le blog de danae127jours

ce ne sont pas des dieux aztèques mais MAYAS

mille excuses ...

demain visite du site de Coba, dans la forêt vierge.

La Jamaïque s'étend à 150km environ au Sud de Cuba. Avec 235km de long et jusqu'à 82km de large, c'est la troisième île des Antilles, après Cuba et Hispaniola (Haïti et République Dominiquaine).  

Christophe Colomb déjà, le premier "touriste"  en 1494, déclara que c'était "la plus belle île qu'on ait jamais vue".

Ochos Rios signifie "huit rivières" en espagnol; mais il s'agit plus probablement ici d'une altération des mots las chorreras, les "chutes d'eau" , car la région compte de nombreuses cascades. 

Visite du jardin de Coyaba :

Ce n'est pas mon bras !!! mais je peux dire que les perroquets ont les pattes chaudes !!!

fleur de gingembre

 Bob Marley était originaire de la

paroisse de St Ann's

 Un piège à esclave.

En 1785, l'île compte 250 000 esclaves et

25 000 blancs.

La dernière et la plus grave des révoltes d'esclaves éclate en 1831 à Montego Bay. Malgré l'abolition de l'esclavage dans l'Empire britannique en 1833, il faut attendre encore 50 ans pour que l'émancipation soit effective.

Elle est indépendante depuis le 6 août 1962

Entrée aux chutes de la Dunns River

Il faut porter des chaussons en caoutchouc pour me pas glisser !!!

La patrie des Rastas

jolis bérets aux couleurs rastas !!

un vrai rasta !! cool !!!

 Good bye Bob....

 Je crois que c'est une fleur de Christmas Tree

Fin de cette petite viste de la Jamaïque,

je pars demain 1er juillet pour la Normandie,

je ne sais pas si je pourrai y trouver un cyber café pour continuer ce blog, sinon RDV début septembre pour les escales au

MEXIQUE !!!

BON ETE...

On ne nous a pas fait visiter quelque chose de typique à St Domingue mais un pseudo village médiéval italien d'opérette construit par un milliardaire pour les 15 ans de sa fille sur les hauteurs de la rivière Chavon,  avant  cela nous avons fait une petite navigation en bateau à aubes sur cette rivière qui servit de cadre au tournage d"Apocalypse Now" .    .

 On peut voir le village en haut à droite avec ses palmiers.  

un "gaucho" sur les bords de la rivière

Dans le village il y a un musée de l'ambre, cette résine fossilisée fit la richesse de la région, de petits fossiles y sont souvent emprisonnés. La République Dominicaine est l'un des premiers producteurs mondiaux d'ambre.

Il y a aussi des mines de larimar, une pierre bleue que l'on trouve ici.

Nous allons passer le dimanche 24 janvier en mer avant d'arriver lundi à Santiago de Cuba.

 Je ne garde pas de souvenirs impérissables de St Martin, Sint Maarten pour les Hollandais , car depuis 1648 Français et Hollandais se  partagent l'île en toute harmonie. Nous n'avons visité que la partie française.

Le journal du jour faisait part de notre arrivée !!

Après avoir traversé le port entre deux murailles d’énormes bateaux de croisière sous une pluie chaude mais battante, le tour de l’île ne nous a pas fait découvrir grand chose de typique, à part peut-être ce toit de restaurant assez original qui laisse passer les cocotiers !!   

le petit Princess Danae dans

le fond à gauche

entre ces monstres !!!

Il y avait deux excursions visite du Nord ou du Sud, comme j’avais déjà visité le Nord (Les jardins de Balata, la montagne pelée et St Pierre) j’ai préféré voir le Sud , le domaine de la Pagerie et le Rocher du Diamant.

Mais d’abord nous avons visité l’ancienne distillerie de rhum de l’habitation Clément. C’est ici que Bush père et François Mitterrand se sont rencontrés après la 1^ère guerre du golfe en mars 1991.  Jacques Chirac était venu couper quelques cannes en 1988 !!

On y trouve du rhum pour tous les budgets du vieux de 1952 à 818 € au simple bidon de 4,5l à 29,99 € !!!!

 une belle chenille colorée !!

             un colibri au domaine de la Pagerie

c'est sur cette ancienne habitation sucrière qu'est née en 1763 Joséphine Rose Tascher première épouse (1796) de Napoléon Bonaparte et future impératrice. Au milieu d'un très beau parc se trouvent les ruines des bâtiments fonctionnels de l'habitation, ainsi qu'un petit musée consacré au souvenir de Joséphine. Après la destruction de l'habitation principale la famille a habité dans la sucrerie.

Après un déjeuner antillais au bord d'une des anses d'Arlet  nous avons découvert le rocher du Diamant

vestige de la forte activité volcanique qui a affecté cette région, voilà près d'un million d'années, cette île se présente comme un roc basaltique de 175 mètres de haut. Couvert de broussailles et de cactées, difficilement accessible, le rocher a pourtant joué un grand rôle durant les guerres napoléoniennes. Le Diamant occupait en effet une position stratégique au nord du détroit de Sainte-Lucie, permettant de contrôler la navigation entre la Martinique et sa voisine méridionale, Sainte-Lucie. Au début du XIX^e siècle, la guerre faisant rage aux Antilles entre la France et l'Angleterre qui tentaient de s'assurer le contrôle de cet arc insulaire, les Britanniques décidèrent d'occuper l'îlot. En janvier 1804, profitant de l'effet de surprise et aidé par des conditions météorologiques favorables, le contre-amiral Samuel Hood (à bord du HMS Centaure) s'empara du rocher du Diamant qu'il s'empressa de fortifier. Une garnison de plusieurs dizaines d'hommes (107 d'après certaines sources),  fut laissée sur place pour harceler la marine française. Les grottes servaient alors de dortoirs aux hommes (les officiers bénéficiant de tentes), pour pallier un ravitaillement incertain acheminé à l'aide de paniers hissés jusqu'au sommet grâce à des poulies et des cordes, un petit élevage de chèvres, de pintades et de poules se développa sur les maigres herbages du lieu. Position inexpugnable, le rocher se vit conférer par la marine britannique le titre honorifique de navire de guerre et devint le HMS (His Majesty's Ship) Diamond Rock. Pendant dix-sept mois, les troupes françaises tentèrent de reconquérir en vain l'îlot, mais, en 1805 elles parvinrent à reprendre le Diamant aux Britanniques.  La garnison, manquant de nourriture et d'eau (les citernes ayant été fissurées), se rendit aux forces françaises, le 2 juin 1805.

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La maison du bagnard, une maison de poupée en bois ornementé, et peinte de couleurs vives, jouissant d’un panorama magnifique sur la mer Caraïbe. En face, le rocher du Diamant et le canal de Sainte-Lucie, à gauche, les kilomètres de sable de l’Anse Diamant.C’est au début des années 60 que Médard Aribot, ancien bagnard, édifia cette curieuse maisonnette aux pieds du Morne Larcher.

Il ne devait pas être très grand !!!!!

Nous avons vu ensuite un lieu très émouvant, le Cap 110, c'est le nom d'un mémorial à l'esclavage érigé à l'Anse Caffard lors du 150^e anniversaire de l'abolition de l'esclavage, en 1998. L'œuvre déposée à même le sol est un ensemble de 15 bustes de personnages affligés présentés de manière serrée en forme de triangle (en référence au commerce triangulaire) chacune des statues pèse 4 tonnes pour une hauteur de 2,5 m. Elles sont orientées au cap 110°, en direction de l'Afrique et du golfe de Guinée. Le site a été choisi en hommage aux victimes du dernier naufrage de navire négrier de l'histoire de la Martinique. La nuit du 8 avril 1830, alors que la traite avait été déclarée illégale, un navire transportant 300 esclaves s'échoue en pleine tempête sur les rochers de la côte.

Pour terminer notre escale à la Martinique nous avons pu admirer le spectacle du Grand Ballet de la Maerinique.

Rendez-vous à Point à Pitre pour la prochaine escale en Guadeloupe !!!